dimanche 17 février 2013

faire et défaire...



Quel we!

Un soleil, comme ca faisait des semaines que nous ne l'avions pas vu!

Il n'en fallait pas plus aux mandarins pour sortir de leur nid, et remettre le nez dehors!

D'abord, un café sur un transat devant notre maison hier. Bon, j'avais gardé une petite couverture, mais chaussé les lunettes de soleil! Pour se motiver à bosser après!

De mon côté, j'ai cherché l'emplacement idéal pour planter mon boule de neige. En furetant dans le jardin, je me suis aperçue que le buis avait besoin d'une petite taille. Soit, quelques coups de ciseaux, et il n'y paraissait plus!

Puis, je l'ai trouvé, l'emplacement idéal... non loin de la cuisine, près du mur en terre. mais surtout, sous des pierres que nous avions transportées là, lorsque que nous avions fait  notre grande plate-bande devant la maison...

Me revoilà donc, charriant des cailloux, en espérant qu'à l'endroit où je les dépose, je n'aurais pas besoin de les redéplacer...

Juan a déplacé la ganivelle!

Souvenez-vous, c'était notre premier chantier, le jour de la remise des clés! Sécuriser la mare. Avec les papys, Juan avait donc posé, au ras de la mare, plusieurs dizaines de mètres de cloture. C'était sans compter sur l'envie du propriétaire du champ de derrière d'arracher tous les arbres de la haie mitoyenne, sur laquelle était fixée notre ganivelle....

Aujourd'hui, nous l'avons avancée. Elle est désormais fixée d'un côté au garage, et de l'autre au batiment en terre. Elle ne longe donc plus la mare. Le but prochain est d'installer un poulaillier derrière la ganivelle, et de laisser aux poules le soin de nettoyer les abords de la mare.

Je dis bien NOUS, car, vu la peine qu'avait mon chéri à creuser les trous des piquets, j'ai mis la main à la pâte. (mon arbre n'est donc pas planté...)













Et dernier chantier, terminé seul, une petite rigole a été creusée pour tenter d'évacuer les eaux stagnantes entre la mare et le garage.

Des eaux dont la provenance reste floue: restes des débordements de la mare, ruissellement des eaux du champ voisin, trop plein des sols... Elles rejoignent désormais la mare.




Maintenant, je me dis: pourvu qu'il fasse pas beau le we prochain!!!

2 commentaires: